Dans un discours empreint de détermination et de solidarité, Attro Kouassi Victorien, président du Conseil régional des jeunes de Gbêkê, a adressé ses vœux de nouvel an le 31 décembre 2024 aux jeunes de la région. Son message, à la fois rétrospectif et tourné vers l’avenir, met en lumière les défis relevés en 2024 et trace les priorités pour 2025.
«L’année qui s’achève a été marquée par des défis, mais également par des réussites et des progrès notables pour notre belle région.» C’est en ces termes que le président des jeunes a entamé son allocution, exprimant sa gratitude envers le ministre et président du Conseil régional de Gbêkê, Assahoré Konan Jacques, pour son soutien constant envers la jeunesse.
Revenant sur les accomplissements de la première année de son mandat, Attro Kouassi Victorien a salué la mobilisation et l’engagement des jeunes. «Nos actions collectives ont renforcé notre unité. Sensibilisations, accompagnement des jeunes en quête d’opportunités, et célébrations marquantes ont jalonné notre parcours», a-t-il énuméré. Parmi les réalisations, il a souligné les tournées dans toutes les sous-préfectures de Gbêkê et les initiatives visant à sensibiliser aux enjeux socio-économiques et environnementaux.
Le président des jeunes a appelé à relever de nouveaux défis en 2025, plaçant l’insertion professionnelle, la protection de l’environnement et la participation au processus électoral parmi ses priorités. « Notre région a un potentiel immense. Agriculture, culture, sport… Nous devons exploiter ces richesses et œuvrer pour un développement inclusif», a-t-il indiqué.
Il a également insisté sur la nécessité d’impliquer davantage les jeunes des zones rurales et éloignées, rappelant que «chacun doit se sentir concerné, soutenu et valorisé.»
Dans un élan d’optimisme, Attro Kouassi Victorien a conclu son message en invitant la jeunesse à écrire une nouvelle page d’histoire pour le Gbêkê : «L’année qui commence est une chance de réécrire notre avenir. Ensemble, nous construirons un avenir meilleur. Il n’y a pas de limite à ce que nous pouvons accomplir lorsque nous sommes unis», s’est réjoui.
Alla Kouamé