Hier mercredi 20 novembre 2024, le Conseil de sécurité de l’ONU a examiné un texte appelant à un cessez-le-feu « immédiat, inconditionnel et permanent » à Gaza.
Mais au moment du vote, les États-Unis ont fait valoir leur droit de veto.
Les 14 autres membres du Conseil qui avaient, eux, tous exprimé leur accord à cette résolution, ont déploré le veto américain.
« C’est une génération entière d’enfants que nous abandonnons à Gaza », a lancé l’ambassadrice slovène adjointe Ondina Blokar Drobic.
Ce veto américain a par ailleurs été dénoncé avec force par les Palestiniens: « Il n’y a aucune justification possible à un veto contre une résolution tentant de stopper les atrocités », a par ailleurs lancé l’ambassadeur palestinien adjoint à l’ONU Majed Bamya.
« Nous sommes humains et nous devrions être traités comme tels », a-t-il ajouté en tapant du poing sur la table du Conseil, jugeant que le texte bloqué n’était déjà que « le strict minimum ».
Ceux qui ont actionné la Cour Pénale Internationale contre le Président Russe pour avoir prélevé un millier d’enfants ukrainiens des zones de combats pour les mettre à l’abri dans des centres d’accueil chez lui, sont paradoxalement confortables avec le massacre de plus de 30.000 enfants, femmes et vieillards à Gaza et pensent même que cela n’est pas suffisant.
« Nous sommes humains et nous devrions être traités comme tels », a dit l’Ambassadeur palestinien aux Nations Unies. Sauf que l’ancêtre qui à cet âge devrait avoir pour priorité absolue la recherche du contentement de Dieu par ses pensées et ses actes, ne croit pas à cela. Les agni disent » Kounou tèh » (mauvais fond).
Prof. Moritié